Le ministre de l'Ecologie, Jean-Louis Borloo a défendu un "budget de transition positive" expliquant que "les grandes décisions de l'après-Grenelle ne sont pas encore impactées". Il a souligné que son budget "progresse de 2,5%" et qu'il "prépare l'avenir en privilégiant les dépenses d'investissement par rapport au fonctionnement".
Le PS a dénoncé l'absence de "ligne budgétaire en prévision du financement des premières actions susceptibles d'être mises en oeuvre dès l'exercice budgétaire 2008".