Le président tchèque Klaus s'insurge donc contre "l'européanisme"
Après le "non" irlandais, le président Klaus qui a toujours farouchement critiqué toute perte de pouvoir des pays-membres au profit de Bruxelles, avait estimé que le Traité de Lisbonne était "fini" et qu'il n'était "plus possible de poursuivre sa ratification".
"Topolanek a le doigt sur la détente (...), (le parti démocratique civique qu'il dirige) l'ODS a une chance unique d'enterrer définitivement le traité", assurait de son côté lundi notre autre confrère, le quotidien tchèque, Hospodarske Noviny.
L’heure des règlements de comptes aurait-elle sonné ?