Par ailleurs, la loi précise que les agences et les départements qui interviennent en ce domaine devront contractualiser leurs financements.
Les possibilités d'appui par les services d'assistance technique demeurent, et sont même étendues à la protection de la ressource, l'assainissement autonome et l'entretien des cours d'eau.
Il précise que les collectivités ne disposant pas de ressources suffisantes pourront faire appel au service départemental d'assistance technique, le département définissant le tarif, sans nécessairement répercuter intégralement ses coûts; les autres collectivités pourront toujours solliciter l'intervention du SATESE pour valider le suivi des ouvrages d'épuration des eaux usées, dans la mesure ou le conseil général autorise son service à intervenir dans le domaine concurrentiel.
Compte tenu de ces obligations réglementaires, il paraît peu plausible que les collectivités décident de ne plus faire appel aux SATESE, dont elles apprécient le travail.
L'action entreprise sera ensuite poursuivie dans un cadre juridique rénové et sécurisé.