Mais "il faut écouter les autres", a-t-il noté. "Les autres nous disaient, qui avaient déjà pratiqué ce genre de sport, c'est-à-dire l'Irlande et le Danemark, que ce n'était pas possible de refaire voter des gens qui avaient voté non". Et "nous avions voté non", a rappelé Bernard Kouchner en référence au référendum du 29 mai 2005 sur la Constitution européenne.
"Il fallait faire de cet échec un succès. Ca a été fait à moitié. Ben, c'est déjà pas mal", a commenté le ministre. "L'idée d'un traité simplifié, c'est ça qui a fait bouger l'Europe, c'était l'idée de Nicolas Sarkozy", a-t-il noté en saluant "une avancée. Il y aura une Europe de l'énergie, il y aura une Europe de lutte contre la criminalité, il y aura plein de possibilités qui n'étaient pas là".