Le gouvernement a exprimé la volonté du pays de "développer de bonnes relations de voisinage et de coopération" pour contribuer à la "paix, la stabilité et le progrès" dans la région des Balkans.
De leur côté, les ministres des Affaires étrangères de l'UE ont estimé que la déclaration d'indépendance par le Parlement monténégrin le 3 juin dernier constituait une confirmation juridique du résultat du référendum au cours duquel, quinze jours plus tôt, la fin de l'union avec la Serbie avait été approuvée par les électeurs avec 55,5% des suffrages.