Vers 09H00 GMT (11H00 à Paris), l'euro montait à 1,4935 dollar contre 1,4922 dollar mercredi vers 21H00 GMT, après avoir touché 1,4968 dollar à 6H15 GMT, son meilleur niveau en 14 mois face au dollar.
La monnaie unique européenne avait déjà grimpé jusqu'à 1,4946 dollar --son plus haut niveau depuis août 2008-- mercredi en cours de journée, avant de se replier très légèrement dans la soirée.
L'euro gagnait également du terrain face au yen à 133,70 yens contre 133,22 yens la veille au soir.
Face à la devise nippone, le billet vert montait, à 89,65 yens contre 89,40 yens mercredi soir.
Tandis que l'envolée des actifs à risques continue, que les résultats du 3e trimestre s'avèrent positifs et que les minutes de la Réserve fédérale américaine ont rappelé aux marchés que les taux d'intérêt restaient bas pour un moment, le dollar a continué sa glissade.
Lors de leur réunion des 22 et 23 septembre, dont les minutes ont été publiées mercredi, les membres du FOMC ont enterré officiellement la récession américaine entamée en décembre 2007, mais ont prévenu que la reprise serait lente et longue, et que le niveau des prix et de l'activité devrait justifier le maintien du taux directeur, abaissé à quasi-zéro en décembre, à un niveau extrêmement bas pendant longtemps.
L'euro profite actuellement du regain de confiance des investisseurs qui favorise les marchés boursiers comme les monnaies aux rendements plus élevés, au détriment des valeurs refuge comme le dollar ou le yen.
Signe de l'optimisme général des investisseurs, toutes les places boursières ont progressé mercredi. Le Dow Jones, l'indice vedette de Wall Street, a ainsi franchi le seuil psychologique des 10.000 points pour la première fois depuis début octobre 2008, dopé notamment par les bons résultats de plusieurs entreprises américaines comme ceux de la banque JPMorgan Chase.
"Le projecteur reste aussi braqué sur les résultats aujourd'hui, Citigroup annonçant les siens avant l'ouverture américaine et Goldman Sachs après la fermeture", ajoutait Stuart Bennett, analyste chez Calyon.
Au menu des indicateurs, les cambistes guetteront aussi les demandes hebdomadaires d'allocations chômage (à 12H30 GMT) et l'activité industrielle à Philadelphie en octobre (à 16H00 GMT).
La livre sterling se renforçait jeudi matin, pour des raisons techniques. Elle profite sans doute aussi de commentaires d'un membre du comité de politique monétaire, Paul Fisher, qui a fait savoir que les mesures s'assouplissement quantitatif de la banque pourraient être interrompues au mois de novembre, selon l'agence Dow Jones Newswires.
Vers 09H00 GMT, la livre progressait face à l'euro à 92,60 pence pour un euro, comme face au dollar à 1,6197 dollar.
La monnaie helvétique progressait face à l'euro à 1,5127 franc suisse pour un euro, comme face au billet vert à 1,0127 franc suisse pour un dollar.
L'once d'or valait 1.057 dollars contre 1.059,50 dollar mercredi soir.
La monnaie unique européenne avait déjà grimpé jusqu'à 1,4946 dollar --son plus haut niveau depuis août 2008-- mercredi en cours de journée, avant de se replier très légèrement dans la soirée.
L'euro gagnait également du terrain face au yen à 133,70 yens contre 133,22 yens la veille au soir.
Face à la devise nippone, le billet vert montait, à 89,65 yens contre 89,40 yens mercredi soir.
Tandis que l'envolée des actifs à risques continue, que les résultats du 3e trimestre s'avèrent positifs et que les minutes de la Réserve fédérale américaine ont rappelé aux marchés que les taux d'intérêt restaient bas pour un moment, le dollar a continué sa glissade.
Lors de leur réunion des 22 et 23 septembre, dont les minutes ont été publiées mercredi, les membres du FOMC ont enterré officiellement la récession américaine entamée en décembre 2007, mais ont prévenu que la reprise serait lente et longue, et que le niveau des prix et de l'activité devrait justifier le maintien du taux directeur, abaissé à quasi-zéro en décembre, à un niveau extrêmement bas pendant longtemps.
L'euro profite actuellement du regain de confiance des investisseurs qui favorise les marchés boursiers comme les monnaies aux rendements plus élevés, au détriment des valeurs refuge comme le dollar ou le yen.
Signe de l'optimisme général des investisseurs, toutes les places boursières ont progressé mercredi. Le Dow Jones, l'indice vedette de Wall Street, a ainsi franchi le seuil psychologique des 10.000 points pour la première fois depuis début octobre 2008, dopé notamment par les bons résultats de plusieurs entreprises américaines comme ceux de la banque JPMorgan Chase.
"Le projecteur reste aussi braqué sur les résultats aujourd'hui, Citigroup annonçant les siens avant l'ouverture américaine et Goldman Sachs après la fermeture", ajoutait Stuart Bennett, analyste chez Calyon.
Au menu des indicateurs, les cambistes guetteront aussi les demandes hebdomadaires d'allocations chômage (à 12H30 GMT) et l'activité industrielle à Philadelphie en octobre (à 16H00 GMT).
La livre sterling se renforçait jeudi matin, pour des raisons techniques. Elle profite sans doute aussi de commentaires d'un membre du comité de politique monétaire, Paul Fisher, qui a fait savoir que les mesures s'assouplissement quantitatif de la banque pourraient être interrompues au mois de novembre, selon l'agence Dow Jones Newswires.
Vers 09H00 GMT, la livre progressait face à l'euro à 92,60 pence pour un euro, comme face au dollar à 1,6197 dollar.
La monnaie helvétique progressait face à l'euro à 1,5127 franc suisse pour un euro, comme face au billet vert à 1,0127 franc suisse pour un dollar.
L'once d'or valait 1.057 dollars contre 1.059,50 dollar mercredi soir.
L'AFCCRE appelle les partisans de l'Europe à se mobiliser en vue des élections européennes en 2014