"Je vous assure que nous respecterons les contraintes qui sont celles que nous avons acceptées avec nos partenaires européens", a-t-il insisté.
"Nous allons dès l'été engager une revue de toutes les politiques publiques pour regarder, à chaque fois que c'est possible, comment on peut fusionner des structures qui doublonnent, comment on peut réduire des politiques qui ont des coûts excessifs, comment on peut supprimer des politiques qui sont inefficaces", a-t-il précisé.
"Pour faire des économies, il faut faire des réformes structurelles. Pour faire des réformes structurelles, il faut parfois dépenser un peu d'argent", a-t-il souligné.
Evaluant le coût de la détaxation des heures supplémentaires, l'une des réformes-phares du nouvel exécutif français, à 2,5 à 3 milliards d'euros, François Fillon a affirmé que la France ferait "des économies correspondantes".