Tous unis après le second tour ? Pas sûr …
Il a observé d’ailleurs, à ce propos, que "dans l'équipe de Ségolène Royal, il ne voyait pas beaucoup de femmes".
"Je n'accepte pas que sans la moindre preuve on me prête des propos machistes" qui sont "faux", a-t-il plaidé.
Dominique Strauss-Kahn, en lice pour l'investiture socialiste avec Laurent Fabius et Ségolène Royal, a expliqué qu'il avait passé la campagne à "essayer de proposer".
Le député du Val d'Oise, qui "regretterait" une désignation de Mme Royal dès le premier tour, a émis des doutes sur la capacité de la députée des Deux-Sèvres à battre Nicolas Sarkozy en 2007.
"Je crains que l'absence de vision de l'avenir, de chemin dans la mondialisation, de projet économique et social rende difficile la victoire", a-t-il dit.
Il a, malgré tout, assuré que "les socialistes soutiendront tous les candidats" que les quelque 218.000 militants vont désigner jeudi ou le 23 novembre en cas de deuxième tour.
Après ces diatribes acerbes, cela paraît difficile …