C'est une instance d’évaluation, d’expertise et de concertation sur les biotechnologies et qui sera présidée par Catherine Bréchignac (présidente du CNRS). Le gouvernement aura ainsi satisfait la totalité des engagements pris sur les biotechnologies issus du Grenelle Environnement.
Cette structure originale et novatrice souhaitée par tous les acteurs du Grenelle
Environnement est composée de 63 membres, d’un comité scientifique multidisciplinaire et d’un comité économique, éthique et social. Ce dernier rassemble élus locaux, parlementaires, associations, professionnels, salariés et personnalités qualifiées.
Le Haut-Conseil traitera aussi bien de la thérapie génique, que d’organismes génétiquement modifiés, en passant par toutes les biotechnologies. Il reprend les missions d’évaluation de la commission du génie génétique et de la commission du génie biomoléculaire.
Il sera chargé de questions transversales ou génériques comme définir le « sans OGM » ou évaluer les risques et bénéfices socio-économiques des biotechnologies. Il peut s’autosaisir, et être saisi par des parlementaires, des associations, des professionnels et des salariés. Il est enfin chargé d’une mission de veille scientifique et d’information du public. Ses travaux commenceront mi- mai.
Cette structure originale et novatrice souhaitée par tous les acteurs du Grenelle
Environnement est composée de 63 membres, d’un comité scientifique multidisciplinaire et d’un comité économique, éthique et social. Ce dernier rassemble élus locaux, parlementaires, associations, professionnels, salariés et personnalités qualifiées.
Le Haut-Conseil traitera aussi bien de la thérapie génique, que d’organismes génétiquement modifiés, en passant par toutes les biotechnologies. Il reprend les missions d’évaluation de la commission du génie génétique et de la commission du génie biomoléculaire.
Il sera chargé de questions transversales ou génériques comme définir le « sans OGM » ou évaluer les risques et bénéfices socio-économiques des biotechnologies. Il peut s’autosaisir, et être saisi par des parlementaires, des associations, des professionnels et des salariés. Il est enfin chargé d’une mission de veille scientifique et d’information du public. Ses travaux commenceront mi- mai.
Un éclairage public protégeant la biodiversité, c’est possible. La preuve à Valenciennes