Le programme StEP souhaite ainsi standardiser à l’échelle planétaire les processus de recyclage, et harmoniser les différentes législations.
Il repose sur un partenariat public privé. Outre les Nations Unies, s’y trouvent des centres de recherches (MIT, Berkeley, l’Académie chinoise des sciences, l’Institut Français de télécommunication, etc.), mais encore des sociétés telles Cisco, Dell, Ericsson, HP, Microsoft, Philips et plusieurs organisations gouvernementales.