Une collusion scandaleuse avec l’AFP présente étrangement au moment des faits
Des membres du "collectif des salariés en lutte de Libération" se sont rendus peu après 08H00 devant le domicile parisien de M. de Rothschild et ont jeté dans la cour plusieurs centaines d'anciens exemplaires du journal.
Ils ont déployé sur la façade de l'immeuble une grande banderole demandant "zéro licenciement à Libération".
Bloquant la circulation, ils ont crié sous les fenêtres de leur actionnaire de référence: "zéro licenciement", "le journal est livré" et l'ont longuement hué, accompagné d'un concert de klaxons des automobilistes mécontents.
Dans un tract intitulé "journal révolté", le collectif explique avoir décidé "d'offrir un exceptionnel portage à domicile" à Edouard de Rothschild pour lui permettre "d'apprécier le journal dont il veut prendre le contrôle".
La manière forte, orchestrée par la CGT, elle-même « associée » à l’AFP présente pour filmer et rendre compte de cette dégradation volontaire de l’entrée de l’immeuble de l’investisseur.
Nombreux sont les délits désormais commis par ce collectif qui semble plus enclin à vouloir la mort du journal et le dépôt de bilan plutôt que de tenter de le sauver.
Est-ce purement syndical ? Pas sûr … Le patronyme et les origines de l’homme d’affaires pourraient ne pas être étrangers à ces comportements ....
Ils ont déployé sur la façade de l'immeuble une grande banderole demandant "zéro licenciement à Libération".
Bloquant la circulation, ils ont crié sous les fenêtres de leur actionnaire de référence: "zéro licenciement", "le journal est livré" et l'ont longuement hué, accompagné d'un concert de klaxons des automobilistes mécontents.
Dans un tract intitulé "journal révolté", le collectif explique avoir décidé "d'offrir un exceptionnel portage à domicile" à Edouard de Rothschild pour lui permettre "d'apprécier le journal dont il veut prendre le contrôle".
La manière forte, orchestrée par la CGT, elle-même « associée » à l’AFP présente pour filmer et rendre compte de cette dégradation volontaire de l’entrée de l’immeuble de l’investisseur.
Nombreux sont les délits désormais commis par ce collectif qui semble plus enclin à vouloir la mort du journal et le dépôt de bilan plutôt que de tenter de le sauver.
Est-ce purement syndical ? Pas sûr … Le patronyme et les origines de l’homme d’affaires pourraient ne pas être étrangers à ces comportements ....
Crise agricole/ critiques de M. Valls