José Bové de son côté a annoncé ce soir qu'il arrêtait sa grève de la faim entamée le 3 janvier avec 16 militants, après cette annonce.
José Bové et ses camarades suivaient cette grève de la faim pour réclamer l'activation par la France de la clause de sauvegarde auprès de l'Union européenne, permettant de suspendre la culture en France du MON810, bien qu'il soit autorisé au niveau communautaire.