Les théories fumeuses développées par les « intégristes écolos » sur l’évolution météorologique à l’échelle de la planète ont pris un sacré coup dans la nuque durant cet été pourri pour les vacanciers, destructeurs pour les agriculteurs, ravageur pour les maisons et villes d’une part essentielle de notre continent.
Avec, à la clé, de nombreux sinistres, des catastrophes naturelles reconnues, des personnes de tous âges décédés par autre chose qu’une canicule de triste mémoire.
Eté pourri ? Oui, assurément car il n’aura satisfait personne. Ni les juilletistes et les aoûtiens reclus dans leurs lieux de vacances se protégeant des hallebardes venues du ciel et d’une température bien peu clémente et assurément incompatible avec la saison. Il n’aura pas davantage enjoué celles et ceux qui devaient travailler durant cette période, qu’ils soient professionnels du tourisme ou restés sur leur lieu habituel de vie pour leur train-train quotidien.
L’eau et la boue ont, dans tant de lieux, créé et modelé des paysages nouveaux en lieu et place de vieilles pierres et d’espaces naturels « ciselés » patiemment par le temps et la force de l’Homme au nom de la beauté de la Nature et de la biodiversité.
Pour autant, alors que de telles conditions n’ont pas été réunies depuis plus d’un siècle et – a priori – dans de telles proportions, la plupart des sinistrés ont fait contre mauvaise fortune bon cœur.
La solidarité s’est en outre pleinement exprimée en ces lieux les plus durement touchés, un élan citoyen qui a nettement contrasté d’avec l’égoïsme patent constaté lors de l’été 2003.
Les conséquences de cette période sans doute exceptionnelle seront certainement importantes à de nombreux niveaux et dans presque tous les cercles de réflexion dont certains n’ont rien d’autre à faire que de se remettre en cause.
A quelques encablures du « Grenelle de l’Environnement », les termes consacrés de « développement durable », de « commerce équitable » et … de « réchauffement climatique » méritent plus que jamais d’être relativisés, au moins, revisités, au mieux.
N’en déplaise à Madame Voynet et aux hérauts de cette écologie politique sectaire, le réchauffement climatique n’est finalement qu’un cycle parmi d’autres dans la longue vie de notre petite planète bleue, le CO2 rejeté par leurs poumons lorsqu’ils expirent n’est pas si nocif que cela pour l’homme et bien moins que le monoxyde de carbone (CO) étrangement occulté de tous les rapports, la situation n’est pas si désespérée qu’ils veulent bien le dire.
Ces trois éléments chimiques pointés du doigt comme responsables et coupables de tous nos maux que sont le carbone (C), l’oxygène (O) et l’hydrogène (H) sont essentiels pour le maintien et le développement de la vie de toutes les espèces sur la planète.
Lutter contre serait irresponsable. Rechercher, en revanche, davantage d’équilibre, paraît bien plus opportun comme d’ailleurs l’impérieuse nécessité de préciser le mieux possible l’expression consacrée de « principe de précaution ».
En ce début de troisième millénaire, la science avance. L’Homme recule. La politique se délite. Et le réchauffement du climat tique …