On prend les mêmes et on recommence
NON : bis repetita selon les sondages
… 53% des Français voteraient non au traité constitutionnel européen si un nouveau référendum était organisé sur le même projet que celui soumis à leur vote le 29 mai 2005.
Le divorce persiste puisque 43% des personnes interrogées seulement voteraient oui, 2% choisiraient le vote blanc ou nul ou l'abstention et 2% ne se prononcent pas.
Les sondages sont les sondages, certes, mais lorsque près des trois quarts des sondés (74%) estiment, par ailleurs, que les hommes politiques ne devraient pas pouvoir mettre en œuvre certaines parties de la Constitution européenne sans consulter de nouveau les Français par référendum, nos responsables politiques doivent en tirer les leçons et surtout ne pas esquisser la moindre perspective d’une ratification par le Parlement !
Car ils ne sont que 22% a avoir un avis inverse.
Le nationalisme positif pourrait s’inscrire durablement dans notre paysage
En effet, les sondés, interrogés sur la place de la France au sein de l'Union européenne, jugent à 53% que la France devrait rester dans l'UE.
C’est le point positif.
En revanche, ils sont très largement majoritaires à souhaiter que plus de pouvoirs devraient être redonnés aux niveaux nationaux et locaux.
Après la discrimination positive, l’immigration choisie, voici clairement apparaître la notion de nationalisme positif car seuls 18% des sondés considèrent que la France devrait transférer encore davantage de pouvoirs au niveau européen augmentant ainsi le nombre de décisions qui seraient prises par l'UE en tant que telle.
Et ils ne sont que 16% à juger satisfaisante la répartition actuelle entre les Etats membres et l'UE.
Parallèlement, 10% pensent que la France devrait quitter complètement l'Union européenne !
Bref, le plan B pas plus que le plan C ne sont pour demain ; l’Europe ne fait pas recette. Et pourtant, bien des sondés se sentent européens mais n’adhèrent pas à cette Europe-là. Ils rêvent d’autre chose.
Et pas nécessairement aux différentes options défendues par les protagonistes du NON l’année passée.
Sondage réalisé par téléphone les 19 et 20 mai auprès d'un échantillon de 955 personnes, échantillon représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus (méthode des quotas).
Le divorce persiste puisque 43% des personnes interrogées seulement voteraient oui, 2% choisiraient le vote blanc ou nul ou l'abstention et 2% ne se prononcent pas.
Les sondages sont les sondages, certes, mais lorsque près des trois quarts des sondés (74%) estiment, par ailleurs, que les hommes politiques ne devraient pas pouvoir mettre en œuvre certaines parties de la Constitution européenne sans consulter de nouveau les Français par référendum, nos responsables politiques doivent en tirer les leçons et surtout ne pas esquisser la moindre perspective d’une ratification par le Parlement !
Car ils ne sont que 22% a avoir un avis inverse.
Le nationalisme positif pourrait s’inscrire durablement dans notre paysage
En effet, les sondés, interrogés sur la place de la France au sein de l'Union européenne, jugent à 53% que la France devrait rester dans l'UE.
C’est le point positif.
En revanche, ils sont très largement majoritaires à souhaiter que plus de pouvoirs devraient être redonnés aux niveaux nationaux et locaux.
Après la discrimination positive, l’immigration choisie, voici clairement apparaître la notion de nationalisme positif car seuls 18% des sondés considèrent que la France devrait transférer encore davantage de pouvoirs au niveau européen augmentant ainsi le nombre de décisions qui seraient prises par l'UE en tant que telle.
Et ils ne sont que 16% à juger satisfaisante la répartition actuelle entre les Etats membres et l'UE.
Parallèlement, 10% pensent que la France devrait quitter complètement l'Union européenne !
Bref, le plan B pas plus que le plan C ne sont pour demain ; l’Europe ne fait pas recette. Et pourtant, bien des sondés se sentent européens mais n’adhèrent pas à cette Europe-là. Ils rêvent d’autre chose.
Et pas nécessairement aux différentes options défendues par les protagonistes du NON l’année passée.
Sondage réalisé par téléphone les 19 et 20 mai auprès d'un échantillon de 955 personnes, échantillon représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus (méthode des quotas).
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