Estimant que les décisions de l'Arcep sont "fortement contestables tant sur le fond que sur la forme", la région Rhône-Alpes affirme qu'elles "n'ont pas tenu compte des impératifs d'aménagement du territoire".
Les décisions de l'Arcep "sont placées uniquement sur le terrain financier en fonction des redevances attendues relayant ainsi la politique gouvernementale, sacrifiant les intérêts publics", souligne dans un communiqué la région, présidée par Jean-Jack Queyranne (PS).