Elle a précisé qu'elle voulait "intégrer" les cinq points du Pacte à son programme aux côtés d'engagements comme l'obligation d'intégrer les énergies renouvelables aux bâtiments pour obtenir un permis de construire.
Les cinq engagements sont la création d'un poste de vice-premier ministre chargé du développement durable, la taxe sur les émissions de dioxyde de carbone, une réorientation de la politique agricole, le débat participatif sur les questions d'environnement et l'éducation à l'écologie.
Ségolène Royal a exprimé un point de divergence sur une éventuelle hausse de la fiscalité liée aux émissions de CO2, prônant des baisses incitatives plutôt que des pénalités.