La gestion des droits à polluer
S'agissant de la mise aux enchères de ces très controversés droits à polluer comme l'envisage la Commission, quand bien même ce dispositif pourrait permettre de récolter 55 milliards d'euros, il pourrait également bénéficier aux pays peu soucieux de l'environnement qui, après 2013, tireraient profit de cette "fuite carbone", car les industries très polluantes viendraient alors acheter chez eux ces précieux crédits.
Du coup, face à cette situation, les ministres réfléchissent à deux solutions potentielles.
Enfin, sur le point des 10% d'incorporation de biocarburants, dont le bilan écologique reste toujours contesté, Nathalie Kosciusko-Morizet a déclaré cette semaine que cet objectif constituait "sans doute une erreur" et qu'il faudra peut-être le réviser. À la baisse…