"Les premières investigations menées par les gendarmes concluent à une mort accidentelle", a indiqué le ministère de l'écologie dans un communiqué.
La découverte a été signalée samedi matin à la gendarmerie de Bagnères-de-Luchon par des randonneurs ayant vu la dépouille en contrebas d'une barre rocheuse dans un endroit très escarpé près de Loudenvielle.
L'équipe du suivi de l'ours a aussitôt été chargée d'effectuer les premières constatations sur le corps de Palouma.
Palouma, lâché le 25 avril dernier sur la commune de Burgalays (Haute-Garonne), avait été le premier ours réintroduit dans le cadre du programme engagé par le gouvernement.
"Si l'hypothèse de la mort accidentelle est la bonne, cela confirme que la présence de l'ours slovène, peu adapté à nos altitudes pyrénéennes, est une erreur", a déclaré Stéphane Lessieux, un des porte-parole de l'Association pour la sauvegarde du patrimoine d'Ariège-Pyrénées (Aspap).
"Faire venir des ours slovènes au nom de l'écologie et de la biodiversité est une erreur et un non-sens", a-t-il souligné.
La découverte a été signalée samedi matin à la gendarmerie de Bagnères-de-Luchon par des randonneurs ayant vu la dépouille en contrebas d'une barre rocheuse dans un endroit très escarpé près de Loudenvielle.
L'équipe du suivi de l'ours a aussitôt été chargée d'effectuer les premières constatations sur le corps de Palouma.
Palouma, lâché le 25 avril dernier sur la commune de Burgalays (Haute-Garonne), avait été le premier ours réintroduit dans le cadre du programme engagé par le gouvernement.
"Si l'hypothèse de la mort accidentelle est la bonne, cela confirme que la présence de l'ours slovène, peu adapté à nos altitudes pyrénéennes, est une erreur", a déclaré Stéphane Lessieux, un des porte-parole de l'Association pour la sauvegarde du patrimoine d'Ariège-Pyrénées (Aspap).
"Faire venir des ours slovènes au nom de l'écologie et de la biodiversité est une erreur et un non-sens", a-t-il souligné.
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