"Comment les adolescents consomment les médias"
Ce rapport de Matthew Robson, la banque d'affaires Morgan Stanley a décidé de le diffuser à ses clients investisseurs. Pour leur donner les clés des futures tendances du secteur. Le rapport est de telle qualité qu’il a circulé abondamment jusqu’à Tokyo durant la semaine.
Dans son introduction, le responsable, Edward Hill-Wood, décrit ce document comme "l'un des plus clairs et des plus propices à la réflexion que nous ayons vus" !
Le jeune Matthew, avant de rédiger ses conclusions, a interrogé ses camarades par texto et même si les adolescents utilisent une grande variété de médias, de la télévision aux jeux vidéos, en passant par l'internet, l’étude met en évidence qu’ils ne sont pas prêts à payer pour cela. Autre information capitale pour les investisseurs et les sociologues : il révèle que même si les plus jeunes passent leur temps sur les sites de socialisation, comme Facebook, ils ne voient pas, en revanche, l'intérêt de Twitter, la pourtant très courue plateforme de micro-blogs.
Et la démonstration est vite faite : si les ados n'utilisent pas Twitter, c’est parce que le fait d'actualiser son statut avec son téléphone portable requiert plus de crédit que d'envoyer un simple texto. CQFD. Parallèlement, Matthew explique come il communique avec ses amis garçons, en utilisant le service gratuit proposé par les consoles de jeux. En fait, il n’utilise son portable que pour parler aux filles ! Car celles-ci se font rares sur les jeux en ligne…
Enfin, et ce n’est un mystère pour personne, il souligne quand même et à toutes fins utiles que les adolescents préfèrent télécharger des morceaux de musique gratuitement et ce par tous les moyens, légaux ou non. En effet, ils ne voient pas l'intérêt de payer plein tarif une place de cinéma alors qu’ils peuvent facilement acheter un DVD pirate pour une somme dérisoire.
Avec cette « bombe », la banque Morgan Stanley a reçu des retours "phénoménaux" de ses clients en particulier du secteur des médias. Ces derniers ont manifesté un intérêt particulier pour la qualité du contenu mais aussi par ce que ledit contenu était très différent du type de notes qu'ils reçoivent habituellement.
Ce rapport de Matthew Robson, la banque d'affaires Morgan Stanley a décidé de le diffuser à ses clients investisseurs. Pour leur donner les clés des futures tendances du secteur. Le rapport est de telle qualité qu’il a circulé abondamment jusqu’à Tokyo durant la semaine.
Dans son introduction, le responsable, Edward Hill-Wood, décrit ce document comme "l'un des plus clairs et des plus propices à la réflexion que nous ayons vus" !
Le jeune Matthew, avant de rédiger ses conclusions, a interrogé ses camarades par texto et même si les adolescents utilisent une grande variété de médias, de la télévision aux jeux vidéos, en passant par l'internet, l’étude met en évidence qu’ils ne sont pas prêts à payer pour cela. Autre information capitale pour les investisseurs et les sociologues : il révèle que même si les plus jeunes passent leur temps sur les sites de socialisation, comme Facebook, ils ne voient pas, en revanche, l'intérêt de Twitter, la pourtant très courue plateforme de micro-blogs.
Et la démonstration est vite faite : si les ados n'utilisent pas Twitter, c’est parce que le fait d'actualiser son statut avec son téléphone portable requiert plus de crédit que d'envoyer un simple texto. CQFD. Parallèlement, Matthew explique come il communique avec ses amis garçons, en utilisant le service gratuit proposé par les consoles de jeux. En fait, il n’utilise son portable que pour parler aux filles ! Car celles-ci se font rares sur les jeux en ligne…
Enfin, et ce n’est un mystère pour personne, il souligne quand même et à toutes fins utiles que les adolescents préfèrent télécharger des morceaux de musique gratuitement et ce par tous les moyens, légaux ou non. En effet, ils ne voient pas l'intérêt de payer plein tarif une place de cinéma alors qu’ils peuvent facilement acheter un DVD pirate pour une somme dérisoire.
Avec cette « bombe », la banque Morgan Stanley a reçu des retours "phénoménaux" de ses clients en particulier du secteur des médias. Ces derniers ont manifesté un intérêt particulier pour la qualité du contenu mais aussi par ce que ledit contenu était très différent du type de notes qu'ils reçoivent habituellement.
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