Ce nouveau budget donne également aux institutions de l'Union européenne une certaine flexibilité en permettant de réallouer des fonds qui n'ont pas été dépensés.
Le Parlement avait demandé initialement 12 milliards d'euros de fonds supplémentaires pour les autoroutes et les chemins de fer transeuropéens, ainsi que pour des projets de recherche et de développement ou encore pour le système d'échanges universitaires Erasmus.
Faute d'un accord l'Union aurait dû se contenter des budgets annuels sans perspective à long terme ce qui aurait pénalisé les 10 nouveaux membres.
Ce nouveau budget doit encore être avalisé par la Commission du budget du Parlement européen et les chefs des différents partis.