A trois semaines du premier tour de la présidentielle, François Baroin estime que, si la période est "propice aux polémiques", sa mission est "de garder le cap sur une position de fermeté".
Sur les familles sans papiers d'enfants scolarisés en France, M. Baroin est même apparu plus ferme que son prédécesseur : "Non seulement être scolarisé ne donne pas droit à des papiers mais le moratoire sur les expulsions pendant la période scolaire (décidé par Nicolas Sarkozy l'an dernier) n'a pas vocation à être reconduit". "C'est facile de se donner bonne conscience mais ce serait envoyer un signal hypocrite et dangereux aux candidats à l'immigration", explique-t-il.
Cette position radicale du nouveau ministre de l'intérieur peut surprendre. "La mission qui m'a été confiée par le président et le premier ministre, c'est celle de la fermeté et de la sérénité", explique-t-il. "Je ne suis pas là pour gêner le candidat de l'UMP", ajoute le ministre de l'intérieur.
La société française est plus violente. La France n'est pas la seule en Europe. Certains ne veulent pas l'admettre mais nous devons adapter nos forces pour y répondre". "Qu'est-ce que vous voudriez faire ? Etre plus laxiste ? Ne comptez pas sur moi !", ajoute-t-il.
Sur les familles sans papiers d'enfants scolarisés en France, M. Baroin est même apparu plus ferme que son prédécesseur : "Non seulement être scolarisé ne donne pas droit à des papiers mais le moratoire sur les expulsions pendant la période scolaire (décidé par Nicolas Sarkozy l'an dernier) n'a pas vocation à être reconduit". "C'est facile de se donner bonne conscience mais ce serait envoyer un signal hypocrite et dangereux aux candidats à l'immigration", explique-t-il.
Cette position radicale du nouveau ministre de l'intérieur peut surprendre. "La mission qui m'a été confiée par le président et le premier ministre, c'est celle de la fermeté et de la sérénité", explique-t-il. "Je ne suis pas là pour gêner le candidat de l'UMP", ajoute le ministre de l'intérieur.
La société française est plus violente. La France n'est pas la seule en Europe. Certains ne veulent pas l'admettre mais nous devons adapter nos forces pour y répondre". "Qu'est-ce que vous voudriez faire ? Etre plus laxiste ? Ne comptez pas sur moi !", ajoute-t-il.
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