« 40 millions d'automobilistes » souhaite que le Sénat revienne sur ce texte car cela va à l'encontre du principe d'égalité de tout citoyen devant la loi.
En donnant ce pouvoir aux élus - fixer le prix du stationnement et le prix de l'amende en cas d'infraction - cela créera assurément des disparités entre chaque ville et une libre appréciation du tarif applicable à la sanction.
Le texte, en ces termes, ouvre la porte à la dérive. C'est pourquoi « 40 millions d'automobilistes » s'y oppose formellement et demande aux Députés de rejeter ce projet.