Il est 19 heures 20 hier soir lorsqu'un simple contrôle d'identité vire au tragique. Des policiers du Service régional de la police des transports (SRPT) procédent alors à des contrôles d'identité dans la galerie marchande située au sous-sol de la gare du Nord.
Un homme attire leur attention mais au moment où les policiers du SRPT lui demandent son identité, il sort une arme et tire deux fois en direction des fonctionnaires. Les policiers ripostent et le blessent grièvement à l'abdomen et au pied.
Pris en charge par les pompiers, l'homme, un Algérien de 40 ans, est transporté à l'hôpital Bichat dans le XVIIIe arrondissement et meurt quelques heures plus tard.
Les quatre policiers, dont la femme brigadier-major qui aurait tiré, ont été entendus par l'IGS (l'Inspection Générale des Services) mais n'ont pas été placés en garde à vue.
Selon les premiers témoignages de ses collègues, la policière aurait agi en état de «légitime défense». En l'état, le parquet de Paris a fait savoir aujourd'hui qu'il privilégiait également cette hypothèse mais l'enquête va se poursuivre avec notamment une autopsie de la victime et une expertise technique des armes utilisées par les policiers.
Un homme attire leur attention mais au moment où les policiers du SRPT lui demandent son identité, il sort une arme et tire deux fois en direction des fonctionnaires. Les policiers ripostent et le blessent grièvement à l'abdomen et au pied.
Pris en charge par les pompiers, l'homme, un Algérien de 40 ans, est transporté à l'hôpital Bichat dans le XVIIIe arrondissement et meurt quelques heures plus tard.
Les quatre policiers, dont la femme brigadier-major qui aurait tiré, ont été entendus par l'IGS (l'Inspection Générale des Services) mais n'ont pas été placés en garde à vue.
Selon les premiers témoignages de ses collègues, la policière aurait agi en état de «légitime défense». En l'état, le parquet de Paris a fait savoir aujourd'hui qu'il privilégiait également cette hypothèse mais l'enquête va se poursuivre avec notamment une autopsie de la victime et une expertise technique des armes utilisées par les policiers.
Déjà 50 000 téléchargements de l'application C-KanKon'Ariv, pour lutter contre les bouchons