
"Cette consommation correspond au phénomène du binge drinking (consommation excessive d'alcool) anglo-saxon", commente M. Costes, qui note que ce comportement est en augmentation mais reste en France trois à quatre fois inférieur aux taux enregistrés dans le Nord de l'Europe, particulièrement en Grande-Bretagne.
Les usages réguliers sont également stables par rapport à 2003, à des niveaux proches de ceux de l'alcool: 15% pour les garçons et 6% pour les filles.
Bref, si le cannabis se stabilise, la consommation de cocaïne chez les jeunes progresse, de 1,6% à 2,5% entre 2003 et 2005 et de 1,8 à 2,2 pour les amphétamines. Des hausses "significatives" selon l’observatoire, inquiétantes et à inverser, plus simplement …