
Quatre des sept meneurs ont été transférés dans d'autres établissements", a indiqué à l'AFP Jean-Christophe Sanchez, surveillant à Seysses et membre du syndicat UFAP.
Pour lui, la question des grâces n'est qu'un révélateur d'une situation "très tendue en permanence" due à la surpopulation carcérale avec 780 détenus pour 516 places dans son établissement et une vingtaine de postes de surveillants manquants.
"Nous tirons la sonnette d'alarme depuis longtemps et il faut malheureusement arriver au clash pour que notre administration réagisse", a-t-il expliqué.