Dans un communiqué, le SNOP a réagit à l'agression de policiers dans une cité d'Epinay-sur-Seine (Seine-Saint-Denis), dans la nuit de vendredi à samedi. 30 à 50 jeunes ont agressé une équipe de la brigade anti-criminalité (BAC).
"Depuis plusieurs semaines, les policiers sont régulièrement agressés", affirme le SNOP". "Les officiers de police ne sauraient accepter plus longtemps ces violences gratuites et illégitimes".
Le syndicat "exige que soient rapidement prévus des renforts et des moyens pour les policiers de Seine-Saint-Denis". C'est dans ce département qu'avaient débuté les émeutes de l'automne 2005.
"Guet-apens"
Les trois fonctionnaires de police agressés vendredi soir Cité d'Orgemont à Epinay-sur-Seine ont été victimes d'un "guet-apens", a assuré samedi David Skuli, le directeur départemental de la Sécurité publique (DDSP).
Le préfet et le DDSP se sont rendus samedi au chevet du fonctionnaire blessé aux dents et qui a dû se faire poser 30 points de suture sur le visage. Il devait sortir de l'hôpital d'Eaubonne (Val d'Oise) lundi.
"Il a fait preuve d'un courage exceptionnel et d'un grand professionnalisme", a tenu à souligner David Skuli. Les trois policiers ont par ailleurs reçu une lettre de soutien du ministre de l'Intérieur Nicolas Sarkozy.
L'enquête a été confiée à la Sûreté départementale de Seine-Saint-Denis.
"Depuis plusieurs semaines, les policiers sont régulièrement agressés", affirme le SNOP". "Les officiers de police ne sauraient accepter plus longtemps ces violences gratuites et illégitimes".
Le syndicat "exige que soient rapidement prévus des renforts et des moyens pour les policiers de Seine-Saint-Denis". C'est dans ce département qu'avaient débuté les émeutes de l'automne 2005.
"Guet-apens"
Les trois fonctionnaires de police agressés vendredi soir Cité d'Orgemont à Epinay-sur-Seine ont été victimes d'un "guet-apens", a assuré samedi David Skuli, le directeur départemental de la Sécurité publique (DDSP).
Le préfet et le DDSP se sont rendus samedi au chevet du fonctionnaire blessé aux dents et qui a dû se faire poser 30 points de suture sur le visage. Il devait sortir de l'hôpital d'Eaubonne (Val d'Oise) lundi.
"Il a fait preuve d'un courage exceptionnel et d'un grand professionnalisme", a tenu à souligner David Skuli. Les trois policiers ont par ailleurs reçu une lettre de soutien du ministre de l'Intérieur Nicolas Sarkozy.
L'enquête a été confiée à la Sûreté départementale de Seine-Saint-Denis.
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