"Je veux que les policiers restent suffisamment sur place pour connaître le terrain et les habitants, qu'ils soient en relation constante avec les élus locaux et les responsables associatifs", explique-t-elle dans "Le Parisien/Aujourd'hui en France".
La ministre de l'Intérieur parle "de police localisée ou territorialisée", soulignant que "le lien de confiance est un élément essentiel de la réussite des forces de police". Elle refuse de parler de "de police de proximité telle qu'elle a été mise en place" par la gauche. "Le terme a été dévoyé".
"Je ne veux pas de policiers qui jouent les animateurs sportifs. Chacun doit être dans son rôle: celui des policiers, c'est lutter contre la délinquance et protéger la population", martèle Michèle Alliot-Marie, qui veut ainsi "éviter une forme d'amalgame entre délinquants et personnes vivant dans les quartiers".
Après des rencontres avec des responsables de Seine-Saint-Denis, où les relations police/population seraient très dégradés selon un rapport, la ministre de l'Intérieur s'est "aperçue de l'extrême jeunesse des fonctionnaires". "Il faut dans les commissariats qu'une partie des policiers restent en place plusieurs années".
La ministre de l'Intérieur parle "de police localisée ou territorialisée", soulignant que "le lien de confiance est un élément essentiel de la réussite des forces de police". Elle refuse de parler de "de police de proximité telle qu'elle a été mise en place" par la gauche. "Le terme a été dévoyé".
"Je ne veux pas de policiers qui jouent les animateurs sportifs. Chacun doit être dans son rôle: celui des policiers, c'est lutter contre la délinquance et protéger la population", martèle Michèle Alliot-Marie, qui veut ainsi "éviter une forme d'amalgame entre délinquants et personnes vivant dans les quartiers".
Après des rencontres avec des responsables de Seine-Saint-Denis, où les relations police/population seraient très dégradés selon un rapport, la ministre de l'Intérieur s'est "aperçue de l'extrême jeunesse des fonctionnaires". "Il faut dans les commissariats qu'une partie des policiers restent en place plusieurs années".
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