
Un guet-apens aurait aussi été tendu à des policiers autour du garage Renault à Sarcelles, précisait-on de source syndicale.
La première flambée de violences, dimanche soir, s'était soldée par huit interpellations, 20 policiers et un pompier blessés, deux commissariats saccagés, l'incendie de plusieurs commerces et d'une quinzaine de voitures.
Les premières conclusions de l'enquête menée par l'Inspection générale de la police nationale (IGPN) semblent écarter pour l'instant la responsabilité des policiers se trouvant dans la voiture percutée. Mais les proches des victimes reprochent aux secours de n'être arrivés que tardivement.