Retour à l’équilibre
En dépassant la barre des 3 millions d’hectolitres, la production de la Vallée du Rhône se caractérise par une progression de 8% par rapport à 2010. De plus, « 2011 confirme un
retour à l’équilibre entre la production et la commercialisation », se félicite Christian Paly, président d’Inter-Rhône. La dynamique de la commercialisation se traduit par un niveau de
stock historiquement bas au regard des dix dernières années avec 2 310 062 hl de stocks au 31 juillet 2011
2011 : Année record à l’export
A l’export, la Vallée du Rhône enregistre en 2011 une progression de 19 % en valeur, et poursuit son objectif de croissance, en particulier sur les marchés export jugés prioritaires. Les
A.O.C rhodaniennes se distinguent par une croissance de leur chiffre d’affaires en particulier sur le grand export : +130% en Chine, + 96% en Corée du Sud, en encore + 52% à Hong Kong. L’année 2010 était déjà caractérisée par une nette reprise à l’export pour la Vallée du Rhône, aussi bien en volume (+12%) qu’en valeur (+7%). Le vignoble fait mieux que confirmer en 2011 avec un niveau record aux USA (+17% en volume et +27% en valeur) et une progression significative au Canada (+11%). Dans l’Europe du Nord, plus particulièrement en Suède et en Norvège, les exportations ont progressé de 12% en volume avec un référencement plus important du Rhône sur l’année 2011.
Ainsi, « la Vallée du Rhône conforte sa place parmi les principales régions viticoles mondiales » souligne Christian Paly qui entend renforcer encore cette position dans les
années à venir.
Forte progression du bio.
Avec 285 entreprises certifiées ‘bio’ ou en démarche de conversion, le vignoble rhodanien représente aujourd’hui 8% des surfaces ‘bio’ nationale, ce qui en fait le deuxième vignoble
d’AOC ‘bio’ français. Les surfaces ‘bio/conversion’ d’AOC de la Vallée du Rhône se sont ainsi particulièrement développées passant de moins de 4% avant 2008 à 7,4% des surfaces
totales AOC Vallée du Rhône en 2011, soit 5 000 ha. Inter Rhône s’est doté d’un observatoire économique du bio afin d’accompagner ce mouvement.
Montée en puissance du Rosé
Toutes AOC confondues, la Vallée du Rhône enregistre une forte augmentation des volumes de production en rosé qui ont quasiment doublé en l’espace de 6 campagnes.
La Vallée du Rhône est ainsi devenue le troisième vignoble d’AOC rosé derrière les leaders historiques Provence et Loire. Le vignoble rhodanien se tourne ainsi de plus en plus vers le
rosé, notamment au niveau de certaines appellations qui en ont fait leur couleur dominante. C’est le cas du Luberon où 48% des volumes sont produits en rosé et dans une
moindre mesure pour Ventoux et Costières de Nîmes. Si la production se stabilise à 418 000 hl, la demande du marché reste importante, notamment en France 1ere destination des rosés
rhodaniens. En GMS, les rosés de la Vallée du Rhône progressent de 11,5% en 2011, au dessus de la moyenne de l’ensemble des rosés AOP qui s’élève à 6,5%.
Les Côtes du Rhône naturellement portés par les tendances de consommation
En France, parmi les grandes régions leaders en volume, le Rhône tire son épingle du jeu : 2de AOC en volume et en valeur. En 5 ans, la Vallée du Rhône est en progression de 12%
en volume et de 24% en valeur. Par ailleurs, la Vallée du Rhône est la 3ième région viticole la plus représentée en restauration (présente dans 72% des restaurants).
La revalorisation du plaisir à table et le rôle central du vin dans des instants de détente et de plaisir sont un des fondements de la marque Côte du Rhône. Longtemps considérés
uniquement comme le bon rapport qualité prix en France, les vins des Côtes du Rhône accompagnés par une campagne de communication et une nouvelle signature affichent leur
dynamisme. Résultat : une reprise des ventes en volumes accompagnée d’une valorisation. A l’heure où la bistronomie connait un franc succès, les vins des Côtes du Rhône s’affichent tout naturellement comme les partenaires de moments de plaisir conviviaux.
Le verre gourmand par Côtes du Rhône comme déclinaison du plaisir
A l’instar du café gourmand, le concept du verre gourmand se prête particulièrement bien aux vins des Côtes du Rhône. Qu’il soit fruité, corsé, blanc ou rosé, le verre gourmand
Côtes du Rhône propose des palettes d’accords mets et vins et l’assurance d’un plaisir garanti. Décliné par l’interprofession, le verre gourmand possède ainsi tous les atouts en
phase avec les nouvelles tendances de consommation : un moment de consommation répondant aux pauses déjeuner de plus en plus courtes, une consommation encadrée et un
budget fixé.
En dépassant la barre des 3 millions d’hectolitres, la production de la Vallée du Rhône se caractérise par une progression de 8% par rapport à 2010. De plus, « 2011 confirme un
retour à l’équilibre entre la production et la commercialisation », se félicite Christian Paly, président d’Inter-Rhône. La dynamique de la commercialisation se traduit par un niveau de
stock historiquement bas au regard des dix dernières années avec 2 310 062 hl de stocks au 31 juillet 2011
2011 : Année record à l’export
A l’export, la Vallée du Rhône enregistre en 2011 une progression de 19 % en valeur, et poursuit son objectif de croissance, en particulier sur les marchés export jugés prioritaires. Les
A.O.C rhodaniennes se distinguent par une croissance de leur chiffre d’affaires en particulier sur le grand export : +130% en Chine, + 96% en Corée du Sud, en encore + 52% à Hong Kong. L’année 2010 était déjà caractérisée par une nette reprise à l’export pour la Vallée du Rhône, aussi bien en volume (+12%) qu’en valeur (+7%). Le vignoble fait mieux que confirmer en 2011 avec un niveau record aux USA (+17% en volume et +27% en valeur) et une progression significative au Canada (+11%). Dans l’Europe du Nord, plus particulièrement en Suède et en Norvège, les exportations ont progressé de 12% en volume avec un référencement plus important du Rhône sur l’année 2011.
Ainsi, « la Vallée du Rhône conforte sa place parmi les principales régions viticoles mondiales » souligne Christian Paly qui entend renforcer encore cette position dans les
années à venir.
Forte progression du bio.
Avec 285 entreprises certifiées ‘bio’ ou en démarche de conversion, le vignoble rhodanien représente aujourd’hui 8% des surfaces ‘bio’ nationale, ce qui en fait le deuxième vignoble
d’AOC ‘bio’ français. Les surfaces ‘bio/conversion’ d’AOC de la Vallée du Rhône se sont ainsi particulièrement développées passant de moins de 4% avant 2008 à 7,4% des surfaces
totales AOC Vallée du Rhône en 2011, soit 5 000 ha. Inter Rhône s’est doté d’un observatoire économique du bio afin d’accompagner ce mouvement.
Montée en puissance du Rosé
Toutes AOC confondues, la Vallée du Rhône enregistre une forte augmentation des volumes de production en rosé qui ont quasiment doublé en l’espace de 6 campagnes.
La Vallée du Rhône est ainsi devenue le troisième vignoble d’AOC rosé derrière les leaders historiques Provence et Loire. Le vignoble rhodanien se tourne ainsi de plus en plus vers le
rosé, notamment au niveau de certaines appellations qui en ont fait leur couleur dominante. C’est le cas du Luberon où 48% des volumes sont produits en rosé et dans une
moindre mesure pour Ventoux et Costières de Nîmes. Si la production se stabilise à 418 000 hl, la demande du marché reste importante, notamment en France 1ere destination des rosés
rhodaniens. En GMS, les rosés de la Vallée du Rhône progressent de 11,5% en 2011, au dessus de la moyenne de l’ensemble des rosés AOP qui s’élève à 6,5%.
Les Côtes du Rhône naturellement portés par les tendances de consommation
En France, parmi les grandes régions leaders en volume, le Rhône tire son épingle du jeu : 2de AOC en volume et en valeur. En 5 ans, la Vallée du Rhône est en progression de 12%
en volume et de 24% en valeur. Par ailleurs, la Vallée du Rhône est la 3ième région viticole la plus représentée en restauration (présente dans 72% des restaurants).
La revalorisation du plaisir à table et le rôle central du vin dans des instants de détente et de plaisir sont un des fondements de la marque Côte du Rhône. Longtemps considérés
uniquement comme le bon rapport qualité prix en France, les vins des Côtes du Rhône accompagnés par une campagne de communication et une nouvelle signature affichent leur
dynamisme. Résultat : une reprise des ventes en volumes accompagnée d’une valorisation. A l’heure où la bistronomie connait un franc succès, les vins des Côtes du Rhône s’affichent tout naturellement comme les partenaires de moments de plaisir conviviaux.
Le verre gourmand par Côtes du Rhône comme déclinaison du plaisir
A l’instar du café gourmand, le concept du verre gourmand se prête particulièrement bien aux vins des Côtes du Rhône. Qu’il soit fruité, corsé, blanc ou rosé, le verre gourmand
Côtes du Rhône propose des palettes d’accords mets et vins et l’assurance d’un plaisir garanti. Décliné par l’interprofession, le verre gourmand possède ainsi tous les atouts en
phase avec les nouvelles tendances de consommation : un moment de consommation répondant aux pauses déjeuner de plus en plus courtes, une consommation encadrée et un
budget fixé.
Oui la Métropole du Grand Paris doit réussir !