En intégrant, pour la première fois en novembre 2010, les traditions culinaires sur la liste représentative du patrimoine culturel immatériel de l'humanité, l’UNESCO met à l’honneur le « repas gastronomique des Français ». Pour assurer la pérennité de cette inscription, la Mission française du patrimoine et des cultures alimentaires (MFPCA) propose la création de la Cité de la Gastronomie, comme l’une des mesures emblématiques de sa politique de valorisation et de transmission du patrimoine gastronomique hexagonal. La vocation de cette Cité de la gastronomie consistera à associer exigence culturelle, approche pédagogique et développement économique.
Cette perspective représente une opportunité exceptionnelle pour le pôle économique d’Orly-Rungis, bénéficiant déjà de la présence sur son territoire du célèbre marché d’intérêt national de Rungis.
Avec 1 200 entreprises pour 12 000 emplois et un chiffre d’affaires de 7,6 milliards d’euros, le MIN de Rungis se classe comme le premier marché de gros de produits frais au monde. Autres points forts d’Orly-Rungis pour accueillir la Cité de la gastronomie : une idéale desserte aérienne, ferroviaire et routière (aéroport international d’Orly, future gare TGV, tramway T7, extension de la ligne 14, autoroute A 86 …), la proximité du centre commercial Belle Épine ou le projet du futur grand stade de rugby.
Le projet est piloté par un comité de suivi réunissant l’EPA Orly Rungis – Seine Amont, le Conseil général du Val-de-Marne, la Préfecture de Région, la MFPCA, la SEMMARIS, l’ADOR (association pour le développement économique d’Orly-Rungis), la CCIP Paris Val-de-Marne et les villes de Rungis et Chevilly-Larue.
Attendus pour le début de l’été 2012, les résultats de la mission conduite par F8 Architecture et Arképolis comprendront études d’implantation, scénarii architecturaux et programmatiques, insertion territoriale, synergies/partenariats culturels et économiques - et chiffrage du projet.
La MFPCA devra ensuite se positionner sur les quatre projets en compétition pour la construction de la future Cité de la gastronomie (Rungis, Versailles, Lyon et Tours), avant d’envisager de poursuivre les études d’implantation dès l’automne prochain.
Cette perspective représente une opportunité exceptionnelle pour le pôle économique d’Orly-Rungis, bénéficiant déjà de la présence sur son territoire du célèbre marché d’intérêt national de Rungis.
Avec 1 200 entreprises pour 12 000 emplois et un chiffre d’affaires de 7,6 milliards d’euros, le MIN de Rungis se classe comme le premier marché de gros de produits frais au monde. Autres points forts d’Orly-Rungis pour accueillir la Cité de la gastronomie : une idéale desserte aérienne, ferroviaire et routière (aéroport international d’Orly, future gare TGV, tramway T7, extension de la ligne 14, autoroute A 86 …), la proximité du centre commercial Belle Épine ou le projet du futur grand stade de rugby.
Le projet est piloté par un comité de suivi réunissant l’EPA Orly Rungis – Seine Amont, le Conseil général du Val-de-Marne, la Préfecture de Région, la MFPCA, la SEMMARIS, l’ADOR (association pour le développement économique d’Orly-Rungis), la CCIP Paris Val-de-Marne et les villes de Rungis et Chevilly-Larue.
Attendus pour le début de l’été 2012, les résultats de la mission conduite par F8 Architecture et Arképolis comprendront études d’implantation, scénarii architecturaux et programmatiques, insertion territoriale, synergies/partenariats culturels et économiques - et chiffrage du projet.
La MFPCA devra ensuite se positionner sur les quatre projets en compétition pour la construction de la future Cité de la gastronomie (Rungis, Versailles, Lyon et Tours), avant d’envisager de poursuivre les études d’implantation dès l’automne prochain.
Oui la Métropole du Grand Paris doit réussir !