On peut comprendre, en ces temps de crise particulièrement difficiles, que la somme de 250 millions d’euros que pourraient rapporter ces ventes paraisse « alléchante ».
Pour Françoise Férat, « C’est de la vente de morceaux de l’histoire de notre pays dont on parle. Je ne m’oppose pas à la vente de notre patrimoine, je demande à ce que la vente et le devenir de ces bâtiments soient encadrés ».