Le 18 février 2013, la Croix-Rouge française et ses organisations sœurs de huit autres pays européens, lançaient une campagne de sensibilisation sur les multiples catastrophes et urgences humanitaires qui restent trop souvent ignorées du grand public.
Patronnée par la Fédération internationale des Sociétés de la Croix-Rouge et du Croissant-Rouge (FICR) et le département de l’aide humanitaire et de la protection civile de la Commission européenne (ECHO), cette initiative a pour objet de mobiliser l’attention autour de ces crises et tragédies qui, à l’insu du plus grand nombre, ravagent les existences de communautés entières à travers toute la planète.
Quatre semaines durant (du 18 février au 15 mars), la FICR, ECHO et neuf Sociétés européennes de la Croix-Rouge s’emploieront à mettre en lumière une série de catastrophes méconnues comme la disette qui sévit en Afrique australe, un tremblement de terre dévastateur au Tadjikistan ou les diverses flambées épidémiques qui affectent l’Ouganda. Ces événements seront portés à l’attention du public, des décideurs de l’Union européenne, des bailleurs de fonds et des médias pour tenter de faire progresser la prise de conscience de souffrances humaines qui ne font pas les grands titres de l’actualité.
Patronnée par la Fédération internationale des Sociétés de la Croix-Rouge et du Croissant-Rouge (FICR) et le département de l’aide humanitaire et de la protection civile de la Commission européenne (ECHO), cette initiative a pour objet de mobiliser l’attention autour de ces crises et tragédies qui, à l’insu du plus grand nombre, ravagent les existences de communautés entières à travers toute la planète.
Quatre semaines durant (du 18 février au 15 mars), la FICR, ECHO et neuf Sociétés européennes de la Croix-Rouge s’emploieront à mettre en lumière une série de catastrophes méconnues comme la disette qui sévit en Afrique australe, un tremblement de terre dévastateur au Tadjikistan ou les diverses flambées épidémiques qui affectent l’Ouganda. Ces événements seront portés à l’attention du public, des décideurs de l’Union européenne, des bailleurs de fonds et des médias pour tenter de faire progresser la prise de conscience de souffrances humaines qui ne font pas les grands titres de l’actualité.
Oui la Métropole du Grand Paris doit réussir !