"Si on est cohérent avec nous-mêmes dès lors qu'on a décidé de maintenir un groupe aéronaval et d'avoir une capacité de projection de puissance sur la mer à tout moment, il faut un second porte-avions", a-t-il ajouté.
Prié de dire s'il restait en réalité sur une hypothèse, Hervé Morin a répondu: "On peut se dire qu'a priori nous aurons un second porte-avions." La semaine dernière, le ministre de la Défense avait indiqué que Nicolas Sarkozy examinerait "la totalité des problématiques budgétaires" avant de décider "définitivement" de construire ou non un second porte-avions.