"Je veillerai à ce que le texte sur l'interdiction de fumer ne soit pas appliqué de façon exagérément rigide", a-t-il dit, alors que les buralistes ont menacé mercredi de descendre à nouveau dans la rue si l'Etat n'assouplit pas le décret d'interdiction de fumer pour les bars-tabac le 1er janvier.
"Le contrôle du respect de fumer devra être exercé de façon évidemment rigoureuse, mais de manière intelligente et sans excès, j'y veillerai également", a-t-il promis.
Le Congrès des buralistes, qui a débuté jeudi à Paris, prend fin vendredi. Le président de la Confédération des débitants de tabac, René Le Pape, a déclaré mercredi que ce congrès "risque fort de se prononcer en faveur d'une mobilisation".
L'interdiction de fumer dans les lieux affectés à un usage collectif est appliquée en France depuis le 1er février 2007, à l'exception des lieux de convivialité (débits permanents de boissons à consommer sur place, casinos, débits de tabac, discothèques, hôtels et restaurants) qui bénéficient d'un sursis jusqu'au 1er janvier.
Les buralistes demandent que le gouvernement les autorise à installer des pièces avec extracteurs d'air, moins strictes que les fumoirs prévus dans le décret. Ils militent également pour que les petits établissements (entre 30 et 40 m2) dans les zones rurales puissent choisir s'ils souhaitent être fumeurs ou non.
"Le contrôle du respect de fumer devra être exercé de façon évidemment rigoureuse, mais de manière intelligente et sans excès, j'y veillerai également", a-t-il promis.
Le Congrès des buralistes, qui a débuté jeudi à Paris, prend fin vendredi. Le président de la Confédération des débitants de tabac, René Le Pape, a déclaré mercredi que ce congrès "risque fort de se prononcer en faveur d'une mobilisation".
L'interdiction de fumer dans les lieux affectés à un usage collectif est appliquée en France depuis le 1er février 2007, à l'exception des lieux de convivialité (débits permanents de boissons à consommer sur place, casinos, débits de tabac, discothèques, hôtels et restaurants) qui bénéficient d'un sursis jusqu'au 1er janvier.
Les buralistes demandent que le gouvernement les autorise à installer des pièces avec extracteurs d'air, moins strictes que les fumoirs prévus dans le décret. Ils militent également pour que les petits établissements (entre 30 et 40 m2) dans les zones rurales puissent choisir s'ils souhaitent être fumeurs ou non.
Oui la Métropole du Grand Paris doit réussir !