Depuis Siemens en 1999, aucune entreprise européenne n’avait été sélectionnée dans le cadre d’un marché ferroviaire japonais. Il s’agit néanmoins d’une première étape car d’autres obstacles réglementaires restent à lever. Une autre décision favorable aux intérêts français a récemment été prise par les autorités japonaises avec l’ouverture de leur marché aux viandes de bœuf d’origine française - interdites à l’importation depuis 2001- à compter du 1er février 2013.
Pour Nicole BRICQ, ministre du Commerce extérieur « Les autorités japonaises viennent de donner deux signes d’ouverture que je tiens à saluer. La France avait obtenu lors du lancement de la négociation d’un accord de libre échange avec le Japon, le 29 novembre dernier, que la baisse progressive des barrières tarifaires s’accompagne d’un plus grand accès au marché japonais. Ce message a été entendu, preuve que nous devons continuer à défendre le principe de réciprocité dans les échanges commerciaux».