Et bien que la logique économique en période de crise ne s’y prête guère, ils ont, à l’unisson, insisté sur la nécessité de conserver cette ressource fiscale locale dont on sait que l’assiette repose sur ce qu’ils ont déclaré être l'activité économique feignant sans doute de savoir que ladite taxe est contreproductive et pour les investissements et pour l’emploi.
Nicolas Sarkozy n’avait certes pas pris de gants ni de précautions pour annoncer la suppression de la TP le 5 février dernier et déjà plusieurs pistes de substitution sont à l'étude comme par exemple une taxe carbone, "un impôt foncier d'entreprise", évoqué par Eric Woerth, ou encore une taxe qui serait assise sur la valeur ajoutée des entreprises. En laissant la porte ouverte à d'autres options ...
Dommage que de tels enjeux, de création d’emplois et de richesses dans nos territoires soient ainsi politisés …
Nicolas Sarkozy n’avait certes pas pris de gants ni de précautions pour annoncer la suppression de la TP le 5 février dernier et déjà plusieurs pistes de substitution sont à l'étude comme par exemple une taxe carbone, "un impôt foncier d'entreprise", évoqué par Eric Woerth, ou encore une taxe qui serait assise sur la valeur ajoutée des entreprises. En laissant la porte ouverte à d'autres options ...
Dommage que de tels enjeux, de création d’emplois et de richesses dans nos territoires soient ainsi politisés …
Oui la Métropole du Grand Paris doit réussir !